FORMALITES, ARGENT (Cartes,Distributeurs,Change,Budget), ARTISANAT, ELECTRICITE, HEBERGEMENT, INSECURITE, INTERNET/WIFI, LES PRIX, POSTES/CORREOS, SANTE, TAXES et POURBOIRES, TELEPHONE, TRANSPORTS, VALISE (Quand partir?), IDEE de CIRCUIT, ADRESSES et COORDONNEES UTILES (Ambassades)

FORMALITES

Passeport valide pour la durée du séjour pour les ressortissants français, belges et suisses. Il est préférable de voyager avec un passeport valable 6 mois après la date de retour.

• Même si un passeport valable au moins pour la durée du séjour peut suffire ;
• document d’immigration (FMM ou Forma Migratoria Múltiple).

• – Pour les Européens et les Canadiens, aucun visa n’est nécessaire, il faut juste être en possession d’un passeport, dont la validité doit couvrir au moins la durée du séjour.
• S’il n’y a plus besoin de  remplir de formulaire migratoire (FMM) en version papier, celui-ci ne disparaît pas, il continue à être généré électroniquement aux points d’entrée au Mexique. En effet, à l’issue de l’entretien permettant en particulier de confirmer le motif du séjour, les voyageurs se voient remettre un tampon d’entrée dans leur passeport indiquant la durée autorisée dans le pays, qui ne peut pas dépasser 180 jours.
• Les mineurs doivent être munis de leur propre pièce d’identité (passeport pour le Mexique). Pour les mineurs français, une loi entrée en vigueur en janvier 2017 a rétabli l’autorisation de sortie du territoire. Pour voyager à l’étranger, ils doivent être munis, en plus de leur passeport, d’un formulaire signé par l’un des parents titulaires de l’autorité parentale et de la photocopie de la pièce d’identité du parent signataire.
• Obtention du visa par une agence
• – des agences s’occupent d’obtenir votre visa pour cette destination. Pour la province, demandez le visa par correspondance quelle que soit la destination.
  Les commandes peuvent s’effectuer sur site Internet et vous recevrez directement les formulaires et la liste des pièces à fournir. Demandez la Réception d’un courriel sur votre messagerie à chaque étape du processus d’obtention .

POUR LES TRANSITS PAR LES USA OU CANADA

Si votre voyage au Mexique vous amène à passer la frontière des Etats-Unis par voie terrestre, vous devrez, même pour une excursion, remplir un formulaire I-94W, délivré par les autorités d’immigration à l’arrivée, acquitter un droit de 7 dollars environ (payable en dollars américains uniquement) et présenter un passeport portant sur la couverture le symbole « puce électronique ».
Attention ! A compter du 1er octobre 2022, les voyageurs français, belges et suisses (comme tout voyageur bénéficiant du Programme d’exemption de visa) devront, pour entrer au Etats-Unis par voie terrestre, avoir obtenu au préalable une autorisation d’ESTA. Jusqu’à cette date, la procédure I-94W reste valable.

Permis de conduire : pour éviter tout désagrément, il peut-être utile, même pour les pays extra-européens reconnaissant officiellement sur leur territoire la validité du permis français, de se procurer également un permis de conduire international ou, à défaut, une traduction assermentée du permis français.

En cas de transit par les États-Unis (sueur) :

DOCUMENTS : Pour entrer sans visa, tout voyageur français, belge ou suisse (cela concerne aussi les enfants quel que soit leur âge) se rendant, par air ou par mer, aux Etats-Unis (ou y transitant) pour un voyage touristique ne dépassant pas 90 jours, doit être en possession d´un passeport individuel portant sur la couverture le symbole « puce électronique ». A partir du 15 janvier 2017, l’autorisation de sortie du territoire est rétablie pour les mineurs français voyageant sans au moins l’un de leurs parents.

ESTA (l’autre nom du Visa) : Tous les voyageurs français, belges ou suisses se rendant, par air ou par mer, aux États-Unis (ou y transitant) pour un voyage touristique, devront être en possession, avant d’embarquer, d’une autorisation électronique d’ESTA (Système électronique d’autorisation de voyage). Le formulaire ESTA devra être imprimé, avec la mention « autorisation accordée » et présenté à l’enregistrement. Ce document, simple autorisation d’embarquement, n’est pas une garantie d’admission sur le territoire des USA. Une fois accordée, cette autorisation est valable pour une ou plusieurs entrées et ce pendant deux ans (ou jusqu’à expiration de la validité du passeport du demandeur).

Les formulaires en ligne sont accessibles sur le site : https://esta.cbp.dhs.gov/ (la demande doit être faite au plus tard 72 heures avant le départ). L’autorisation d’ESTA est payante : 21 dollars US (tarif mai 2022), à régler par carte bancaire au moment de la demande. Bon courage !

ENTREE AUX ETATS-UNIS : À l’arrivée, les services de l’immigration prennent une photo de votre visage et vos empreintes digitales. Patientez derrière la ligne jaune tant que l’on ne vous invite pas à la franchir, cela peut durer un certain temps. Les contrôles de douane se font au premier point d’entrée sur le territoire. Passée l’immigration, vous récupérez vos bagages sur les tapis roulants et vous rendez à la douane. En cas de continuation aérienne, vous devrez récupérer vos bagages et les apporter aux tapis-bagages qui desservent les correspondances (connecting flights). Ils seront dirigés vers votre destination finale.

Si votre voyage implique que vous transitiez par le Canada :

AVE : A partir du 10 novembre 2016, les voyageurs dispensés de visa qui prennent un vol à destination du Canada, ou qui transitent par le Canada vers leur destination finale, devront obtenir une autorisation de voyage électronique (AVE) ( pareil autre nom du Visa). Elle est valable 5 ans (à condition que votre passeport ait une validité équivalente) et coûte 7 dollars canadiens.
L’AVE n’est pas exigée des citoyens des Etats-Unis, ni des voyageurs possédant un visa valide. Elle ne l’est pas non plus des voyageurs entrant au Canada par voie terrestre ou maritime.

Le formulaire ad hoc doit être complété au plus tard 72 heures avant le départ sur le site http://www.cic.gc.ca/francais/visiter/ave-commencer.asp
Les femmes mariées doivent faire cette demande à leur nom de jeune fille.
Attention ! des sites non officiels proposent de délivrer l’AVE aux voyageurs à des tarifs exorbitants ; il arrive même que l’autorisation ne soit pas délivrée, ou pas reconnue par les autorités canadiennes. Veillez à faire la demande à l’adresse mentionnée ci-dessus.

APPAREILS ELECTRONIQUES : De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les États-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.

Gros conseil : A part d’aimer les contrôles , essayez d’aller au Mexique directement.

Visa
Pas de visa pour les ressortissants CEE (séjour de moins de 90 jours, prolongeable 6 mois). Une carte de tourisme individuelle sera toutefois établie dans l’avion. 

ARGENT

– La monnaie mexicaine est le peso ($Me ou MXN). Son cours est quasi indexé sur le dollar américain. Ce qui revient à dire, que lorsque le dollar monte, le Mexique devient plus cher pour les Européens.

Change

– Pour changer de l’argent liquide (euros aisément, dollars canadiens fréquemment, francs suisses plus difficile), le plus simple sont les nombreux bureaux de change (casas de cambio), Aucune commission n’est perçue (ils sont intéressants à l’aéroport de Mexico). Ces bureaux ont des horaires assez larges.

– Même si la situation varie localement, les grandes banques comme Banamex, Santander, Scotiabank ou i>HSBC tendent, de plus en plus, à réserver le change à leurs clients. En revanche, 2 enseignes effectuent le change à des taux au moins aussi bons que ceux des bureaux de change : Banco Azteca et CIBanco, implantée dans les capitales de tous les États. Passeport exigé.

Retraits et cartes de paiement (tarjetas de crédito)

– Pour retirer de l’argent, les banques possèdent presque toutes des distributeurs automatiques (cajeros) acceptant Visa et MasterCard, parfois aussi American Express. Attention, en plus de la commission prise par votre banque, la banque mexicaine se sert aussi (50-80 $Me en général).
Attention aux problèmes techniques et arnaques. Retirez de préférence dans de grandes banques internationales, de jour et filmez votre transaction .

– Le paiement par carte (les Mexicains préférent les espèces) est possible pour les hôtels ou restos un peu chic, des courses dans un supermarché de chaîne, voire un billet de bus en 1re classe (pas partout) avec souvent une commission de l’ordre de 3 à 7 %, parfois plus.

Dans les restaurants, on vous demandera en général si vous souhaitez ajouter le pourboire (propina). La réponse: si, un 10 %.

Une carte de paiement internationale est indispensable pour louer une voiture. Depuis peu, il faut souvent être titulaire d’une carte de crédit et non de débit.

BUDGET

En gros, en voyageant à 2 à l’économie, comptez 600-800 $Me (environ 33-45 €) par jour et par personne : 150-200 $Me par personne en AJ ou 600 $Me pour la chambre double, environ 200-300 $Me pour la nourriture et 200-300 $Me pour les visites, transports, boissons, etc. Bien sûr, en ajoutant 300-400 $Me de plus, on voyagera dans des hôtels un peu plus confortables.

Les hôtels les plus chic annoncent souvent leurs tarifs en dollars et demandent parfois le paiement dans cette devise.

Hôtels

Les prix suivants s’entendent pour 2 personnes occupant une chambre double. Le petit déj est parfois inclus, parfois non.

– Bon marché : moins de 500 $Me (moins de 28 €).
– Prix moyens : 500-800 $Me (28-45 €).
– Chic : 800-1 200 $Me (45-67 €).

Pour la région s’étendant de Cancún à Tulum (Riviera maya)
– Bon marché : moins de 700 $Me (moins de 38 €).
– Prix moyens : 700-1 200 $Me (environ 38-67 €).
– Chic : 1 200-2 000 $Me (environ 67-112 €).

Les prix sont presque partout plus élevés (+ 30-200 %) en juillet-août et plus encore durant la semaine sainte (Pâques) et autour de Noël. Sur la Riviera maya, autour du Nouvel An et « Spring Break » (vacances de printemps américaines), c’est du delire !

Restaurants

– Bon marché : moins de 150 $Me (environ 8,50 €).
– Prix moyens : 150-300 $Me (environ 8,50-17 €).

– Plus chic : 300-500 $Me (environ 17-28 €).

Sur la Riviera maya :
– Bon marché : moins de 200 $Me (environ 11 €).
– Prix moyens : 200-300 $Me (environ 11-17 €).
– Plus chic : 300-500 $Me (enironv 17-28 €).

ARTISANAT

Le Mexique, pays des arts populaires par nature, les artisans y sont prolixes.

– Alebrijes : à Mexico et à Oaxaca. Les alebrijes sont des créatures imaginaires en papier mâché, qui trouvent leur origine dans les contes et histoires du sud du Mexique.
– Arbres de vie (árboles de la vida) : ces structures en céramique en forme de chandelier. « L’arbre » est recouvert de nombreuse petites figurines en argile.
– Bijoux en argent : à Taxco, la ville de l’argent. Mais aussi à Cuernavaca et à Zacatecas.
– Bijoux en ambre et en jade : à San Cristóbal de Las Casas et dans le Chiapas. La qualité n’est pas garantie dans la rue ni sur les marchés, les boutiques sont plus sures.
– Bijoux en graines : les Indiens lacandons, dans la forêt du Chiapas, en font de superbes, mais on en trouve aussi ailleurs, notamment au Yucatán.
– Catrinas : la catrina est devenue le symbole national du jour des Morts. Un village de l’État de Michoacán s’est spécialisé dans les catrinas d’argile, mais devenue une icône de l’artisanat mexicain, on en trouve à présent en papier mâché, fil de fer et bois sculpté.
– Céramique talavera : dans le style des azulejos du Portugal. Le centre traditionnel de fabrication de la Talavera est à Puebla, mais aussi à Dolores Hidalgo.
– Coffrets et coffres : les plus célèbres sont en bois peint laqué, fabriqués à partir d’un bois odorant caractéristique d’Olinalá.
– Hamacs : ils sont omniprésents au Yucatán et sur la côte pacifique. Vous en trouverez surement dans votre hébergement essayez le , vous verez qu’à la longue c’est assez inconfortable et vous évitera de vous encombrez dans les bagages du retour.
– Poteries : un peu partout, mais spécialement à Morelia, Pátzcuaro, Guadalajara.
– Rebozos : grands châles tissés rectangulaires, en coton ou même en soie.
– Sombreros de mariachi :

– Tapis et couvertures (sarapes) : une autre spécialité de la vallée d’Oaxaca et plus particulièrement du village de tisserands de Teotitlán del Valle.
– Tissages : les tissages indiens (aire maya) incluent des motifs complexes qui empruntent à la cosmogonie et à l’histoire locale. Ils varient selon le village et le lignage

.- Vannerie : les Mixtèques (État d’Oaxaca). Paniers avec des motifs géométriques bicolores.

ELECTRICITE

110 volts et prises à fiches plates comme aux États-Unis. Apportez un adaptateur (pas si simple à trouver sur place).

HEBERGEMENT

DORMIR

Appelées hostales (ou hostels), les AJ sont privées et se trouvent un peu partout, avec une plus grande concentration dans les régions touristiques.
Mais le pire côtoie le meilleur

Même constat pour l’ambiance, très variable. La base : des dortoirs avec lits superposés, des chambres privées, des sanitaires généralement collectifs (même s’ils sont de plus en plus souvent dans le dortoir), une cuisine commune et le wifi. Les mieux équipées disposent de la clim, de chambres avec salle de bains privée et d’espaces communs plus sympas (piscine). On peut aussi parfois suspendre son hamac dans le jardin ou sur le toit-terrasse.

HÔTELS

Si hôtel se dit hotel en espagnol, posada, hospedaría ou mesón. Le mot hostal est souvent utilisé,les auberges de jeunesse peuvent désigner les hôtels bon marché – ce que sont aussi les casas de huéspedes, pensiónes et hospedajes.

La plupart du temps, mieux vaut prendre une chambre à l’étage Les hôtels ont souvent des chambres pour 3, 4 et même 6 personnes.

Il est d’usage de payer d’avance la 1re nuit, ou, dans les hôtels plus chics, de laisser son passeport ou l’empreinte de sa carte de paiement (pas conseillé). On doit en principe libérer la chambre à 12h ou 13h (en général, on peut laisser ses bagages à la réception).

– On trouve au centre des grandes villes et dans toutes les bourgades un paquet d’hôtels de bon marché à prix moyens, de confort moyen. Les tarifs dépendent de plusieurs facteurs : présence ou non d’une salle de bains privée (eau généralement chaude, mais pas toujours), nombre de lits (single, queen, king size), ventilateur ou air conditionné, TV . Dans les zones d’altitude, le chauffage est souvent en rêve.

– Les hôtels chic : le confort monte d’un degré, la déco est plus harmonieuse. Un plus pour les haciendas et hôtels coloniaux, lieux historiques qui conservent charmes et, parfois mobiliers d’époque. Les prix ne sont pas forcément très chers et il peut y avoir des promos

CAMPING

Sur les littoraux balnéaires (côte pacifique en particulier), les Trailers Park.
Ailleurs, certaines AJ et cabañas en bord de mer disposent d’espaces plus ou moins aménagés pour les campeurs. le camping sauvage est fortement déconseillé (ne dormez jamais sur la plage). Certains accros du hamac peuvent faire des économies dans les campings.

INSECURITE : ça dépend.

L’idéal est d’éviter les zones frontières.
Beaucoup d’histoires remplissent le narratif habituel sur ce pays. Vous serez quand même moins en danger qu’en  banlieue parisienne .
Pas de population exogène nourrit à la haine du pays d’accueil . 

PLUS EN DETAILS

Il est formellement déconseillé de se rendre dans :

• l’État du Tamaulipas ;
• l’État de Guerrero (seules les stations balnéaires d’Ixtapa-Zihuatanejo et d’Acapulco ne présentent pas le même niveau de dangerosité, à la condition de s’y rendre par la voie aérienne) ;
• l’Etat du Colima (à noter, la ville de Manzanillo ne présente pas le même niveau de dangerosité, à la condition de s’y rendre par la voie aérienne) ;

• le sud de l’État de Michoacán (depuis la ville d’Uruapán et jusqu’à la côte) ;
• les villes de Tijuana et de Tecate en Basse-Californie du Nord.

Il est formellement déconseillé aussi de se rendre dans la zone située dans le triangle formé par les villes de Celaya, Irapuato, Salamanca et de leurs environs.

Il est déconseillé sauf raison impérative de se rendre ou de séjourner dans les États suivants ou une partie :

• Basse-Californie du Nord ;
• Chihuahua ;
• Chihuahua ;
• Durango ;
• Nayarit ;
• Zacatecas ;
• Veracruz ;
• le sud-ouest de l’État de Michoacán ;
• le Sud de l’État de Guanajuato ;
• la région sud-ouest de l’État de Jalisco ;
• l’est du Nuevo León, à la frontière avec l’Etat du Tamaulipas. 

De même pour certaines villes :

Nogales et Ciudad Obregón ;

Piedras Negras ;

Toluca. 

ARNAQUES

Attention au truandage, même dans les endroits les plus officiels : banques (faire les calculs de change avant), compagnies de cars, stations-service (pompe trafiquée ou arnaque à la monnaie), restaurants (recompter l’addition), taxis (vérifier que le chauffeur mette le compteur en marche… quand il y en a un), faux appartements ou maisons loués sur Airbnb (vous arrivez : et ils n’existent  pas )

VOLS

Les grands centres urbains, Mexico en tête, ne sont pas les endroits les plus sûrs du pays.

– Faites des photocopies de tous vos papiers et billets d’avion pour pouvoir les refaire plus facilement en cas de perte ou de vol. Laisser les originaux dans le coffre de l’hôtel et emporter les ,photocopies avec vous.

– Evitez de sortir un peu tard le soir, surtout dans les grandes villes, évitez les quartiers non touristiques, surtout à la tombée de la nuit.

– Ne laissez rien dans votre voiture, même pour un arrêt.

– Dans le bus, gardez toujours vos valeurs sur vous (vols de sacs sur les porte-bagages ou au sol). Dans le métro, ayez votre sac devant vous. Pas d’argent ni de portable dans les poches arrière de votre pantalon.

– Dans les taxis, fermez le loquet de sécurité de la portière et la fenêtre. Idem si vous êtes en voiture. Dès la nuit tombée, ne prenez jamais un taxi ordinaire au hasard, mais appelez un taxi d’un site, plus cher mais sûr. Prenez en photo la plaque et envoyez la à une connaissance en indiquant votre parcours et l’heure.

– N’acceptez jamais de la nourriture ou des boissons proposées par des inconnus. Elles peuvent contenir des drogues. Des cas ont été signalés, en particulier dans des boîtes de nuit.

– En cas d’agression, défendez vous, il faut en finir avec les conseils idéologiques à jouer les moutons, on se muscle et on apprend un sport de combat (pas le judo ou le karaté ça ne sert à rien). Les voyous ne cherchent qu’un peu de liquide et iront attaquer des plus faibles surtout si vous vous enragez. Sinon en jouant les canards vous risquez de passer à l’étape suivante :

– L’enlèvements express » : qui est de forcer quelqu’un à faire le tour des distributeurs avec sa carte de crédit pour retirer tout l’argent qui peut l’être…

– En cas de problème, c’est à la police touristique ou aux bureaux de l’office du secrétariat au tourisme que vous devrez vous adresser. Ils sont présents dans la plupart des grandes villes.

Quelques règles élémentaires sont à respecter :

Ne pas retirer d’argent la nuit aux distributeurs, les zones touristiques sont sures, méfiances toutefois aux personnes ivres, vérifier le prix avant d’entrer en boîte de nuit, ne jamais donner son passeport à qui que ce soit , surtout si c’est un taxi qui vous le demande (dans ce cas là descendez immédiatement). Pour les filles évitez d’être seule et ne rentrez pas avec un inconnu , laissez votre contact à une personne que vous connaissez.

INTERNET/WIFI

La plupart des lieux d’hébergement et de nombreux cafés ou restos sont équipés du wifi, presque toujours gratuit pour les clients. On y a aussi accès sur certaines places publiques.

Se connecter au wifi à l’étranger est le seul moyen d’avoir accès au web gratuitement. Attention, ne vous connectez pas aux réseaux 3G ou 4G, au risque de faire grimper votre facture !
Le plus sage consiste à désactiver la connexion « Données à l’étranger » (dans « Réseau cellulaire »). On peut aussi mettre le portable en mode « Avion » et activer ensuite le wifi. Attention, le mode « Avion » empêche, en revanche, de recevoir appels et messages.

LES PRIX :

-Une bouteille d’eau d’1,5L : 18 pesos environ.
-Roti de boeuf 1 kg : 10 € .
-Un paquet de riz : 1,6 € .
-Un litre d’essence : 1,20 €

POSTES/CORREOS

Le réseau postal fonctionne de façon très aléatoire. Compter 2 à 3 semaines pour qu’une carte postale arrive en France. Pour un envoi plus rapide (moins de 8 jours) et relativement sûr, utilisez la formule « certificado », qui permet de suivre sa course sur Internet.
En général, il y a une poste par ville et les horaires sont à peu près similaires partout (du lundi au vendredi et parfois le samedi matin, sauf jours fériés, de 8h à 16h ou 18h).

– Prix d’un timbre pour l’Europe : 13,50 $Me jusqu’à 20 g en normal et 45 $Me jusqu’à 20 g en « certificado ».

• SANTE

• vaccinations universelles : DTCP, hépatite B ;
• hépatite A et fièvre typhoïde (très, très recommandés) ;
• en cas de séjours ruraux ou prolongés : rage.

• Les consultations médicales sont faciles d’accès, sans rendez-vous (normalement du lundi au samedi de 9h à 21h) et bon marché. Les cabinets regroupent généralement 2 médecins, d’où la plage horaire assez large. Prix de la consultation : de 30 à 50 US$. Prévoir néanmoins une assurance assistance internationale (Couverturee carte visa si paiement billet d’avion avec) pour les cas plus sérieux. Le réseau des pharmacies et des laboratoires d’analyses médicales est bien réparti. La plus répandue étant la chaîne Paris. La moins chère : les pharmacies Similares, souvent ouvertes 24h/24 dans les grandes villes.

  VACCINS

  Soyez à jour les vaccinations universelles : tétanos, poliomyélite, diphtérie, coqueluche, hépatite B. Vaccins contre l’hépatite A et la fièvre typhoïde très, très recommandés, car les infections d’origine alimentaire sont fréquentes. Celui contre la rage en cas de séjours ruraux ou prolongés.

  MALADIES

  – Le paludisme est confidentiel pour le voyageur (zones reculées du Chiapas et du Yucatán), et toujours dans sa forme mineure. Médicaments préventifs inutiles en pratique, mais moustiquaire , imprégnation des vêtements et répulsifs cutanés.

  – Pas de fièvre jaune (pour commencer à en trouver, il faut descendre au sud du canal de Panamá).

  – En revanche, il y a de la dengue, et de plus en plus, mais pas partout et pas toujours. Présence également dans certaines zones de la maladie à virus Zika. Se renseigner avant de partir : toutes les protections antimoustiques sont alors nécessaires, même de jour.

  – Également transmise par les insectes, la leishmaniose, y compris dans sa forme grave (mais en zones rurales seulement).

  – Enfin, ne pas marcher pieds nus à la campagne (puces, chiques) ni sur les plages fréquentées par les chiens (larva migrans).

  – Présence d’« abeilles tueuses » dans tout le pays. Tarentules, veuves noires, scorpions, serpents à sonnette (Ambiance). Oui on sait c’est plus calme en cure thermale. Risques quasi absents dans les sites les plus touristiques. Ouf !

  – Vous entendrez peut-être parler de la maladie de Chagas, en augmentation : mais cette maladie, transmise par des punaises, ne concerne pas les sites touristiques. Re-OUF.
  Pour les piqures Recommandées par l’OMS et le ministère de la Santé : celles qui contiennent du DEET à 30-50 % (adultes), type Insect Écran ou Cinq sur Cinq. L’huile essentielle de citronelle est d’une efficacité remarquable sans les inconvénients des produits chimiques.

  Elles sont omniprésentes. Fièvre typhoïde, volontiers résistante aux antibiotiques. Hépatite A : partir vacciné. Hépatite E, amibes, etc., pour lesquelles la seule prévention est une hygiène alimentaire scrupuleuse : désinfection de l’eau par Micropur DCCNa® ou filtration microbienne type Katadyn.
  La probabilité d’une gastro est très élevée : selon certaines études, 40 % des voyageurs sont touchés. Le traitement d’une diarrhée simple, sans fièvre, sans pus ni sang, repose sur l’association d’un antibiotique et d’un frein aux humeurs intestinales.

• TAXES ET POURBOIRE

  – L’IVA : c’est la TVA locale, de 16 % (réduite à 11 % dans certaines villes frontalières). En général, les prix l’incluent, mais dans certains hôtels de catégorie supérieure et restos chic, les prix sont donnés hors IVA. Il peu y avoirse lon les lieux une taxe locale de 2 % en sus.

   Le Mexique est le pays de la propina : le pourboire est OBLIGATOIRE dans les cafés et les restos. Il est classiquement de 10 % de l’addition, et plus souvent de 15 % dans les zones américanisées (Riviera maya), côte pacifique.

  Dans les taxis avec compteur (Mexico), on arrondie au peso supérieur. Dans les stations-service, le pompiste prend 5-6 pesos minimum.

• TELEPHONE

• Les numéros de téléphone comptent 7 chiffres, sauf à Mexico, Monterrey et Guadalajara, où ils en ont 8. Pour téléphoner d’une ville à l’autre, il faut composer un indicatif que l’on vous indique pour chaque ville (en intro à côté de son nom). Ce sont des communications larga distancia.

  Communications internationales

  Téléchargez WhatsApp ou Viber pour téléphoner gratuitement depuis votre portable et oubliez tout le reste ! Comme partout les cabines ont quasiment disparu et les petits centres d’appel (casetas telefónicas) se font rares. Il existe des cartes à gratter vendues dans les kiosques et supérettes Oxxo, comme celles d’Ekofon.

  – De la France vers le Mexique : 00 + 52 + indicatif de la ville + numéro du correspondant.

  – Du Mexique vers la France : 00 + 33 + numéro du correspondant (sans le 0 initial). Pour téléphoner en PCV (por cobrar), composer le 09.

  Communications intérieures

  Une vraie usine à gaz.

  – De téléphone fixe à fixe : composer le 01 + indicatif de la ville (clave) + n° du correspondant. On signale l’indicatif de la ville dans le bandeau-titre de chaque ville. Exemple : l’indicatif de Mexico est 55 ; celui de Puebla est 222. Si vous vous trouvez dans la même zone, inutile de composer le préfixe.

  – De fixe à portable : composer le 045 + indicatif de la ville (clave) + n° du correspondant (attention, si votre correspondant a un numéro qui dépend de la même zone que vous, composez le 044 à la place du 045, mais laissez le préfixe !).

  – De portable à portable : si votre correspondant appartient à la même zone, composez le directement son numéro. S’il appartient à une région différente, composez l’indicatif de la ville (clave) + le n° du correspondant.

  – Bon à savoir : de plus en plus d’adresses disposent d’un no gratuit qui commence par 01-800, valable à l’intérieur du pays.

  Le téléphone portable au Mexique

  À savoir : il est difficile de reconnaître un numéro de portable au Mexique car il commence toujours par le même préfixe que celui de la zone géographique où se trouve l’abonné. Faites-vous donc préciser s’il s’agit d’un numéro fixe (fijo) ou portable (celular) : l’index est différent (et le coût aussi !).

  Activer l’option « International » : elle est en général activée par défaut. Pensez sinon à contacter votre opérateur pour souscrire à l’option (gratuite) au moins 48h avant le départ.
  – Le « roaming » ou itinérance : c’est un système d’accords internationaux entre opérateurs. Concrètement, cela signifie que lorsque vous arrivez dans un pays, le nouveau réseau s’affiche automatiquement.
  – Tarifs (hors UE) : ils sont propres à chaque opérateur et varient en fonction des pays. N’oubliez pas qu’à l’international, vous êtes facturé aussi bien pour les appels sortants que les appels entrants, idem pour les SMS. Donc quand quelqu’un vous appelle à l’étranger, vous payez aussi.

  – Acheter une carte SIM/puce sur place : si vous restez assez longtemps au Mexique, cela peut être une option avantageuse. Il suffit d’acheter une carte SIM/puce locale (pour moins de 100 $Me) chez l’un des opérateurs (le plus courant s’appelle Telcel), représentés dans les boutiques de téléphonie mobile omniprésentes.

  On vous attribue alors un numéro de téléphone local et un crédit de communication. Avant de signer le contrat et de payer, essayez si possible la carte SIM/puce dans votre téléphone afin de vérifier si celui-ci est compatible.

  Ensuite, les recharges de crédit s’achètent un peu partout, dans les stations-service, supérettes, tabacs, etc. Autre solution : acheter tout simplement un téléphone portable basique (très bon marché, vendu dans ces mêmes boutiques) !

• TRANSPORTS

  Le permis de conduire national suffit.

• Le bus est le seul vrai moyen de transport terrestre entre les villes au Mexique.

  Dans les grandes villes, les compagnies sont généralement regroupées dans un même central (terminal) de autobuses (ou central camionera), assez souvent en périphérie. Il faut donc s’y rendre en taxi. Ces gares routières offrent souvent cafétérias, boutiques, sanitaires (quelquefois avec douches) et consignes à bagages.
  Parfois hélas, les compagnies possèdent chacune leur propre terminal… Entre les 2, il y a aussi des villes avec un terminal pour les bus de 1re classe et un autre pour les bus de 2de classe – ou un terminal pour les bus circulant dans la région et un autre pour les longues distances.

  – Bus de 2de classe : ouvent appelé servicio ordinario. Ce sont des bus de 45-50 places, généralement spartiate et un peu vieux, qui s’arrêtent à la demande – ce que ne font pas les bus de 1re classe (voir ci-après). Cependant, les meilleurs ont parfois la TV, des toilettes et même l’AC !

  Bus de 1re classe : ou servicio ejecutivo. Moins de sièges, donc plus de place, et un meilleur niveau de confort, avec TV, w-c, sièges inclinables, rideaux aux fenêtres, AC et même le wifi. Ils font moins d’arrêts et sont donc plus rapides que les 2de classe. Conseillé pour les longs trajets ou les parcours de nuit.

  – Bus de luxe (servicio de lujo) : avec écran TV individuel, prise USB, w c hommes et w-c femmes séparés… et surtout des sièges (20-27 par bus) très larges et inclinables.

  – On a oublié de mentionner les bus locaux, dits guajoloteros – de guajolote, dindon –

  Vous pouvez consulter les sites web des principales compagnies (1re classe), acheter vos billets en ligne, ou les appeler gratuitement (numéros « 01-800-… ») à l’intérieur du pays.

  Voici les principales compagnies du pays :

  • ADO (Autobuses de Oriente)
  • Autovías
  • Estrella Blanca
  • Estrella Roja
  • ETN-Turistar Lujo
  • Omnibus de México
  • Primera Plus

  -Attention : certains sites internet des compagnies de bus n’acceptent pas les cartes de paiements étrangères. L’astuce est passer par une « plate-forme » de réservation qui groupe la majorité des compagnies de bus.

  Colectivos,micros,peseros,combis et camiones.

  La différence ? Ce sont des minibus ou minivans, qui desservent une ligne fixe. En ville, ils circulent d’un quartier à l’autre, ou en périphérie, en boucles. L’itinéraire est fixe et inscrit sur le pare-brise. Pour les arrêter on fait signe de la main. On paie en montant, ou avant de descendre.

  En plus des bourgades proches, les colectivos desservent aussi des grandes lignes de ville à ville. Ils ne partent que quand ils sont pleins (ou presque), leurs fréquences sont élevées, ils commencent aux aurores – et s’arrêtent souvent vers 17h-18h. Les chauffeurs hurlent pour annoncer leur destination. Un colectivo est plus rapide qu’un bus et de prix égal (parfois moins cher).

  TAXI

  Le taxi est un moyen de transport pratique et économique.  Mexico se différencie du reste du pays.

  – En dehors de la capitale, les taxis on rarement un compteur. On vous demandera donc souvent le double du prix ! Renseignez vous avant sur les tarifs. Dans certaines villes, les taxis disposent d’un tarifario officiel mais tout se négocie car c’est le prix maxi.

  – À Mexico, les taxis ont un compteur, donc pas de problème… veillez à ce qu’il soit actionné.

  – Pour éviter les embrouilless et le molestage de taxis illégaux, terminaux de bus et  aéroports ont désormais tous une station de taxis prépayés intégrée. ( Mais quand vous sortez de l’enceinte vous trouverez moins cher) . On achète son billet deux fois le prix au comptoir à l’intérieur et on paie un montant fixe selon le parcours.

  LOCATION DE VOITURES

  Louez à partir de la France, c’est moins cher. En général, les compagnies mexicaines ne louent pas aux moins de 25 ans (parfois 22 ans) ni au plus de 75 ans. La plupart exigent passeport, permis de conduire de plus d’un an (le permis national suffit normalement mais prévoir un permis international est plus prudent) et carte de crédit internationale pour la caution (pas de carte de débit avec certaines compagnies).

  Demander avec attention la couverture de l’assurance (el seguro) et vérifiez scrupuleusement le véhicule avant le départ. Faites noter absolument chaque rayure. Filmez et photographiez. N’ayez pas honte car les loueurs à l’arrivé vous chercherons des poils sur les œufs. Il peut être avantageux de prévoir le rachat de franchise à la signature du contrat.

  Avec certaines compagnies, il est possible de laisser sa voiture dans une autre ville que celle du départ, mais c’est bien sur plus cher.

  Us et coutûmes de conduite .

  Tout le monde conduit, ici, souvent sans permis ni assurance même à partir de 14 ou 15 ans , le permis s’achète) Voici quelques trucs à savoir.

  – Le Mexique est accro aux ralentisseurs style gendarmes couchés, ça envoie lourd surtout quand ils ne sont pas indiqué . La nuit c’est un massacre pour vos suspension et vos cervicales.  .

  – Attention, les feux sont placés APRÈS les carrefours, comme aux États-Unis.

  – Aux carrefours sans feu, il n’y a souvent ni stop ni priorité. On passe alors un par un, dans l’ordre d’arrivée. En principe.

  – Les lignes blanches et panneaux sont pour la déco, ils ont trouvé ça jolie. Attention aux sens interdits souvent non signalés , on l’apprend quand on croise quelqu’un. Vous avez compris que parlez espagnol va vous servir.

  – Attention à l’utilisation du clignotant. Si un camion ou un véhicule lent qui vous précède met son clignotant à gauche,  2 options : soit il va tourner à gauche soit vous pouvez le doubler. Débrouillez vous !

  – Stationnement : en ville, on trouve de nombreux parkings (estacionamientos),
  Dans les parkings, il faut souvent laisser sa voiture avec la clé de contact, les gardiens la déplacent en fonction des besoins.  Ne laissez aucun objet de valeur à l’intérieur.
  On peut moyennant une propina (5 à 10 pesos) laisser surveiller son  véhicule par un gardien officieux qui gère un morceau de trottoir .

  Mexico détient le titre de 1re ville la plus embouteillée du monde devant Bangkok et Jakarta.

  – Quatre-voies et autoroutes (autopistas et carreteras de cuota) :  Attention aux camions. la règle à l’Africaine est basique : tu es plus petit que moi, donc j’ai le droit de te défoncer !

  – Conduite de nuit : déconseillée. À Mexico, on ne s’arrête ni aux feux ni aux stops à cause de l’insécurité.

• AVION

  L’avion permet d’éviter de longs trajets en bus et n’est parfois pas beaucoup plus cher (surtout en basse saison) grâce à la concurrence entre les différentes compagnies low cost (il faut quand même ajouter les transferts aéroport/ville). Pour les vols avec correspondance, prévoir minimum 2h pour le transit.

• VALISE

• Votre Valise

  – Vêtements d’été et maillot de bain pour le littoral.

  – Laines pour les régions en altitude.

  – Un poncho, plus économique on peut en acheter sur place !

  – Le sac de couchage peut se révéler utile en hiver, surtout dans des hôtels bon marché, où le chauffage est absent et les couvertures légères !

  QUAND PARTIR ?

• La saison sèche, de novembre à mai, est considérée comme la plus propice au voyage.

  – De février à avril, c’est la période du spring break, et bien que la plupart des activités se déroulent autour de Cancún ; mieux vaut éviter la période si vous souhaitez être tranquille.

  La vie quotidienne durant la Semaine sainte (Pâques) est perturbée : banques fermées, hôtels et transports complets. C’est le meilleur moment pour visiter la capitale : Mexico.

  – En juillet-août, le Mexique accueille un grand nombre de vacanciers.

  – Autres périodes difficiles : les ponts du mois de mai,  le jour des morts et Noël.